L’homme barbu
Depuis deux ans, la présidente de l’agence de mannequins montréalaise Specs, Marie-Josée Trempe, observe un engouement qui ne se dément pas. Pour leurs campagnes, ses clients demandent des mannequins barbus. Des mannequins «mâles».
Depuis deux ans, la présidente de l’agence de mannequins montréalaise Specs, Marie-Josée Trempe, observe un engouement qui ne se dément pas. Pour leurs campagnes, ses clients demandent des mannequins barbus. Des mannequins «mâles».
Soutenir l’industrie de la mode québécoise, c’est l’initiative que vient de lancer Marie-Josée Trempe, présidente fondatrice de l’agence de mannequins Specs et agente de Coco Rocha au Québec.
Plusieurs filles rêvent de devenir mannequin. La réalité est parfois tout autre. Être mannequin semble une vie glamour, mais les apparences sont parfois trompeuses. Il y a bien sûr les voyages, mais ce ne sont pas des vacances. La solitude, les avions, les décalages horaires et les horaires parfois frénétiques sont durs sur la santé et le moral. Quelques tops québécois dressent les aspects positifs et négatifs du métier.
Un bon mannequin détient autant de qualités physiques qu’abstraites. La fondatrice et présidente de l’agence montréalaise Specs met en lumière l’importance de la personnalité d’un mannequin, nous explique pourquoi les Montréalaises sont belles et ce qui caractérise leur style.
Marie-Josée Trempe s’efforce de ne pas gagner sa vie sur le dos des autres femmes; elle forme ses mannequins afin d’éviter qu’ils ne se laissent utiliser par l’industrie de la mode.